Fallait pas nous crêper le chignon

Une conférence gesticulée engagée

« Jolene, I’m begging of you please don’t take my man…”, “Laisse-moi kiffer la vibe avec mon mec, j’suis pas d’humeur à ce qu’on nous prenne la tête » ….

Le CFEP a invité le jeudi 22 mars 2025 Daphné Linardos, qui a animé conférence gesticulée « Fallait pas nous crêper le chignon ». Cette conférence gesticulée traitait des rivalités féminines, de leurs origines et de leurs expressions au sein des relations amoureuses et affectives.
Patriarcat ou adelphité ? Entre théorie et expériences personnelles, Daphné Linardos cherche à déranger les codes sociaux en montrant que la rivalité féminine n’est pas un fait naturel mais bien une injonction. Les livres, musiques, films et séries sont des véhicules pour ces symptômes du système patriarcal et hétéronormatif.

Humour, rélexions et sororité

Pourquoi en vouloir à une amie quand elle se rapproche d’un homme que j’aime bien ? En réalité, les femmes sont mises en concurrences, doivent se distinguer, être « pas comme les autres » afin d’avoir une quelconque valeur aux yeux de la société. Pour être validée par un homme, il est primordial pour une femme d’occulter quelconque autre femme et de se conformer absolument à ce que veut un homme, par exemple en termes de normes de beauté. Mais alors comment entretenir des relations amicales et saines entre femmes si nous semblons condamnés à la jalousie et concurrence ? Daphné Linardos tente de nous aider à nous émanciper de ce système par le biais de l’adelphité et de l’intersectionnalité. Il est en réalité non seulement question de rejeter certains modèles « conventionnels » de relations, mais également simplement de communiquer et exprimer le poids de ses injonctions entre amies.

En mêlant humour, anecdotes et réflexions, Daphné Linardos offre un moment de catharsis, une safe place pour repenser nos relations entre femmes. Sororité, émancipation, il est de ce fait clair que Daphné Linardos nous invite dans un réflexion et une lutte commune et à ne pas se crêper le chignon entre femmes.  

Pour en connaitre plus sur cette thématique, Daphné Linardos continue de se produire et propose d’autres moments de réflexion ! Rendez-vous sur son site https://daphnelinardos.com/. A bientôt au Centre Féminin d’Éducation permanente !

Décoloniser l’Alpha et le FLE : une démarche collective et féministe

L’équipe du CFEP a eu l’opportunité de participer à une formation d’ITECO asbl intitulée  » Les féminismes décoloniaux en alpha et en FLE, Parce que la colonialité est partout, la décolonialité est inévitable « . À la suite de cette formation, nous nous engageons à revisiter nos pratiques dans une démarche de décolonisation, en nous appuyant sur les enseignements et ressources partagés lors de ce programme.

Illustration pour l'article sur le féminisme décolonial

Idées et engagements principaux 

Une des premières idées abordées est la critique du modèle occidental, blanc et colonial de l’apprentissage. Ce modèle, profondément ancré dans une vision coloniale, repose sur l’idée implicite que « je sais mieux », créant ainsi une hiérarchie des savoirs. Dans cette perspective, le savoir occidental, souvent perçu comme supérieur, se positionne contre ce qui est jugé « primitif », dévalorisant ainsi d’autres formes de savoir et de culture. Les langues et traditions non occidentales sont fréquemment reléguées à un statut inférieur. Le CFEP s’engage résolument à déconstruire cette hiérarchie et à plaider pour une éducation plus inclusive, respectueuse de la pluralité des savoirs, qui valorise les savoirs propres et les cultures dans leur diversité et leur richesse. 

Un autre engagement majeur découle du rejet du féminisme blanc néolibéral, qui impose une vision étroite de l’émancipation des femmes. Ce modèle, imprégné de logiques néolibérales, met en avant l’image d’une femme blanche, bourgeoise, qui s’épanouit dans un système économique capitaliste : travail salarié, enfants, conformité à des normes sociales, notamment l’absence de voile. Il s’agit là d’une vision limitative et homogénéisante de l’émancipation, qui ignore les réalités des femmes racisées et/ou migrantes. L’association souhaite promouvoir un féminisme intersectionnel et décolonial, qui intègre la diversité des vécus et des combats, et qui lutte contre la marchandisation des corps et des identités féminines. Cela implique de redéfinir l’autonomisation des femmes, loin des impératifs économiques imposés par un modèle néolibéral qui exclut une grande partie des femmes.

Enfin, en réponse à ces modèles oppressifs, nous défendons l’intersectionnalité comme cadre d’analyse politique et philosophique. L’intersectionnalité, qui permet de prendre en compte la multiplicité des facteurs (genre, race, classe sociale, sexualité, etc.) dans la compréhension des rapports de pouvoir et des formes d’oppression, devient ainsi un outil fondamental pour déconstruire les inégalités systémiques. Loin d’être une simple grille de lecture, l’intersectionnalité est une approche qui nourrit l’action militante, en offrant une vision plus nuancée et inclusive des expériences vécues. Cette démarche permet d’analyser les enjeux sociaux sous un angle complexe et de promouvoir une action collective plus juste, où les luttes contre les discriminations s’entrelacent et se renforcent.

Une analyse critique du modèle Alpha/FLE et des dynamiques coloniales

Jérémy Piolat soulève également une ambiguïté importante : dans quelle mesure le milieu associatif, qui se veut bienveillant, ne perpétue-t-il pas des formes de domination en imposant un savoir dominant tout en infantilisant l’Autre ? Cette question se pose particulièrement en ce qui concerne les femmes racisées, souvent vues à travers un prisme de stéréotypes racistes qui les présentent comme « soumises » à leurs maris, un cliché qui se reflète dans l’obsession des sociétés occidentales pour la liberté de ces femmes. Ces stéréotypes, qui deviennent des vérités imposées par l’Occident, dénigrent non seulement le corps des femmes racisées, mais aussi leurs cultures, jugées inférieures. Dans un contexte où les discours sur la culture montent en puissance, une forme de « racisme diplomatique » s’installe, un racisme qui, en se dissimulant derrière des discours sur la tolérance et la diversité, continue de véhiculer des discriminations.

Ce processus de distanciation ne se limite pas à un rejet des individus migrants ou racisés ; il permet également d’asseoir une domination symbolique et de légitimer les stéréotypes qui alimentent les discriminations. L’action du CFEP, dans ce contexte, doit donc se concentrer sur une déconstruction de ces mécanismes de pouvoir, en mettant en lumière les hiérarchies culturelles implicites qui traversent le champ éducatif.

Féminisme décolonial

Une réflexion sur l’émancipation et la décolonisation des pratiques

Une intervention de Cécile Rugira
Cécile Rugira, ayant travaillé dans le secteur Alpha/FLE et au sein de l’association Vie Féminine, offre une analyse complémentaire à celle de Jérémy Piolat, en abordant les obstacles spécifiques à l’émancipation des femmes racisées dans ces systèmes. Elle parle de ce qu’elle appelle le « plancher collant » auquel sont confrontées ces femmes, une métaphore plus juste que celle du plafond de verre. En effet, contrairement aux femmes blanches qui ont parfois accès à des opportunités d’ascension sociale, les femmes racisées rencontrent des obstacles profonds qui les empêchent d’accéder à des espaces d’émancipation. Il existe une véritable absence d’outils qui leur permettraient de s’élever socialement, et le système éducatif et associatif ne propose pas de solutions adaptées.

Cécile Rugira fait référence à la matrice coloniale développée par Quijaro en 1992, qui explore l’interconnexion entre modernité, racisme, patriarcat et capitalisme, qui se nourrissent mutuellement pour maintenir l’ordre colonial. Cela permet de comprendre comment les structures sociales actuelles continuent de reproduire les hiérarchies héritées de la colonisation. L’approche dominante dans le domaine de l’intégration, qui se veut inclusive, est en réalité souvent une forme d’assimilation : un processus par lequel les groupes dominants imposent leurs normes et valeurs aux personnes racisées. Cette assimilation, qui prétend être un mode d’intégration, est en réalité une forme de violence symbolique, car elle exclut la reconnaissance de la diversité des cultures et impose une uniformisation culturelle et sociale.

Pour Cécile Rugira, l’enjeu est de passer de cette logique d’assimilation à celle de l’inclusion, qui laisse place aux identités culturelles et personnelles des individus. Elle appelle à une décolonisation des pratiques, en adoptant une posture critique vis-à-vis du système dominant et en reconnaissant ses propres biais et privilèges. Cette démarche implique de créer des « safe spaces », des espaces sûrs où les personnes concernées peuvent s’exprimer sans crainte de jugement ni de marginalisation. En outre, elle insiste sur la nécessité de travailler sur le développement du pouvoir d’agir des personnes, en fonction de leurs besoins exprimés, plutôt que d’imposer des solutions toutes faites.

Au niveau pratique, cela se traduit par des actions concrètes, comme la diversification des équipes et la mise en place de partenariats avec des organisations racisées afin de mieux comprendre les besoins et soutenir les initiatives des personnes concernées. Un exemple de cette démarche est la pratique de la discrimination positive, par laquelle des stages ou des opportunités sont spécifiquement ouverts aux personnes racisées, afin de compenser un système qui leur offre rarement de telles opportunités.

Dans le milieu Alpha/FLE, il est crucial de légitimer les savoirs et les histoires des apprenant.es. Cela implique d’adopter une posture consciente de l’héritage colonial et de s’éloigner des postures dominantes. L’un des moyens de renforcer ce pouvoir d’agir est la mise en place d’une cogestion des classes, où les apprenant.es peuvent eux/elles-mêmes s’organiser et décider de leur participation, favorisant ainsi leur autonomie. L’un des leviers clés de cette approche est la représentation : il est crucial que celles et ceux qui parlent de vécus et issus ces communautés soient valorisées. Un exemple poignant de cette question de représentation est celui de Françoise Vergès, qui, issue d’une famille esclavagiste, s’est appropriée un héritage réunionnais qu’elle n’a pas directement vécu, une appropriation qui soulève la question de qui a le droit de parler d’un vécu particulier.

Le rôle de l’allié.e est également central dans cette dynamique, en créant des safe spaces et en portant la parole de ceux qui ne peuvent pas s’exprimer. Dans le contexte du milieu Alpha/FLE, cela pourrait se traduire par des actions concrètes, comme servir de traducteur.trice ou d’interprète, pour permettre une expression plus authentique des besoins des apprenant.es. Cependant, il est essentiel que les allié.es ne s’approprient pas la parole des autres et qu’ils/elles laissent l’espace nécessaire aux personnes concernées, notamment dans les activités non-mixtes, où les individus se connectent autour de leur vécu commun.

Dans ces contextes, la décolonisation des pratiques éducatives et associatives devient une démarche incontournable pour un véritable changement, non seulement au niveau des discours, mais aussi dans les actions concrètes et les transformations des structures sociales et culturelles.

Un article d’Eva Velasco

Bibliographie sur les fondement des études décoloniales et du féminisme décolonial

  • Césaire, Aimé. Discours sur le colonialisme. Présence Africaine, 2024.
  • Colin, Philippe, et Lissell Quiroz. Pensées décoloniales : une introduction aux théories critiques d’Amérique latine. Zones, 2023.
  • Davis, Angela. Femmes, race et classe. Des femmes, 1983.
  • Dussel, Enrique. Philosophie de la libération. Paris cedex 14, Presses Universitaires de France. « MétaphysiqueS », 2023.
  • Fanon, Frantz. Les damnés de la terre. Editions La Découverte, 1985.
  • Hooks, bell, et Noomi B. Grüsig. De la marge au centre : théorie féministe. Cambourakis, 2017.
  • Larcher, Silyane, et Félix F. Germain. Marianne est aussi noire : luttes occultées pour l’égalité. Éditions du Seuil, 2024.
  • Miano, Léonora. L’autre langue des femmes. Points, 2023.
  • Ouassak, Fatima. La puissance des mères : pour un nouveau sujet révolutionnaire. La Découverte, 2020.
  • Piolat, Jérémie. Sudalisme : l’imaginaire qui nourrit le racisme. Éditions Libre, 2023.
  • Quijano, Aníbal. « “Race” et colonialité du pouvoir ». Mouvements, 2007/3 n° 51, 2007. p. 111-118.
  • Said, Edward William. L’orientalisme : l’orient créé par l’Occident. Paris Points. Essais 2015, 2015.

Documentaire :
Amandine Gay, Ouvrir la Voix, 2017.

S’ouvrir aux autres et à soi-même ?

Le jeudi 23 novembre 2023 s’est tenu notre conférence de l’automne. Ihsane Haouach en était l’invitée et elle nous a présenté son livre et son idée de modèle répondant à la question : comment mieux s’ouvrir à soi-même et aux autres ?

En résumé

Ses principaux conseils sont :

  • Apprendre à se connaitre et oser rester soi­-même ;
  • Être ouvert.e aux autres, malgré nos différences, en ayant la patience de les écouter, de tenter de se mettre à leur place ;
  • Respecter les points de vue de chacun.e, nos interprétations nous sont propres et uniques, elles dépendent de notre éducation, de nos expériences de vie et sont toutes aussi valables et valides que les autres.

Se connaître et rester nous-mêmes, c’est définir ses valeurs et assumer ses convictions, sans que cela ne signifie qu’il faut camper sur ses positions et qu’il est interdit de changer d’avis. Toute personne a quelque chose à nous offrir et à nous apprendre, le tout est de lui en donner la chance. Tout comme nous avons toutes et tous des trésors à offrir et apprendre aux autres, le tout étant de s’en donner la chance. Trouver un équilibre stable entre ses valeurs et l’ouverture à l’autre. Ne pas s’enfermer dans ses choix, oser échanger, sans rien attendre en retour que la richesse du partage. Souvent, même si tout semble nous opposer, en dialoguant, des convergences peuvent naître et c’est là que la magie opère. Se sentir compris.e, entendu.e, écouté.e, aimé.e reste les clés vers l’apaisement personnel, mais aussi collectif.

Envie de découvrir le modèle OPEN en vidéo ?

Vous trouverez ici la vidéo, résumant la proposition OPEN d’Ishane Haouach. Merci à toutes les personnes qui sont venues, nous avons été ravies de partager cette soirée avec vous. On espère vous revoir bientôt, on vous concocte une chouette soirée en mars 2024 !

broderie art de décoration féministe

La broderie, un art ancien, est une pratique dont les racines remontent à l’Antiquité. Des traces de cet art se retrouvent dans des civilisations telles que l’Égypte, la Grèce, l’Empire […]

Petits guides sur le féminisme : le féminisme, c'est quoi ? Les vagues, les types et les féminismes intersectionnels

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Conférence d'Ihsane Haouach

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Selfcare au Féminin : L’Écoféminisme à travers la Cosmétique Naturelle

Le samedi 16 septembre 2023, le CFEP a organisé un événement dédié à la création de cosmétiques naturels. Dans le cadre des Journées Féministes d’Amazone, axées sur les écoféminismes et le self care‧ Cet atelier a été une véritable exploration des bienfaits de la cosmétique naturelle. En voici notre compte-rendu. 

Une fois n’est pas coutume, le CFEP a organisé un atelier « bien-être » pour participer de manière active aux Journées Féministes 2023.

L’atelier était mené par Ines, une experte en cosmétique naturelle. Sa passion pour la beauté traditionnelle nous a immédiatement captivées, créant une atmosphère propice à la découverte. Elle a guidé les participantes à travers une expérience pratique et informative sur la création de masques naturels adaptés à chaque type de peau. À travers cette exploration, Ines a mis en lumière les trois besoins fondamentaux de la peau : celle-ci doit être protégée, nourrie et hydratée.  

Les conseils d’Inès

Pour protéger la peau
Il est très important d’appliquer régulièrement de la crème solaire, afin d’éviter les effets néfastes du soleil sur la peau. Pensez aussi à mettre un couvre-chef, si c’est possible et à ne pas vous exposer pendant entre 10 et 16 heures, quand le soleil est présent. 
Pour hydrater sa peau
Tout d’abord, on pense à boire de l’eau. L’hydratation de la peau passe surtout par là ! a éclairé l’audience sur l’utilisation d’ingrédients clés tels que l’argile verte pour les peaux grasses, l’argile blanche pour toutes les peaux, et l’argile rouge pour les peaux ternes. Elle a expliqué comment personnaliser les masques en fonction du type de peau, en incorporant des hydrolats tels que la menthe poivrée pour les peaux grasses ou la lavande pour les peaux sensibles. Les participants ont acquis une compréhension approfondie des ingrédients et de leur rôle dans la création de produits de beauté naturels. 
Pour nourrir sa peau
Notre corps produit déjà, évidemment, un agent nutritif pour la peau : le sébum. Ce qui signifie que c’est selon notre type de peau qu’il faut envisager la nutrition.
Les peaux grasses n’ont pas un énorme besoin de nutrition étant donné qu’elles ne manquent pas de sébum. Au contraire, parfois, elles ont davantage besoin d’un agent régulateur de sébum. C’est pour cela qu’on leur préconise des ingrédients comme l’argile verte, l’huile de jojoba, l’huile de noisette… 
Les peaux sèches ont davantage besoin de nutrition. Répondront à ce manque de nutrition des ingrédients tels que l’argile blanche, l’huile d’amande douche… 
Les peaux mixtes demandent, elles, une combinaison des formules ci-dessus.  A noter que notre type de peau n’est pas éternellement le même. Comme l’entièreté du corps, la peau somatise et évolue selon nos moments de vie : selon les saisons, les moments de stress, les grands changements, les lieux d’habitation, la pollution de l’air… 

Diagnostic personnalisé de la peau, un moment fort apprécié par le groupe.
Inès a pris le temps d’évaluer individuellement le type de peau de chaque personne, fournissant des recommandations spécifiques pour un selfcare efficace. Cette approche individualisée a renforcé le sentiment de connexion entre les participantes et l’événement. 

Réalisation des masques
La partie pratique de l’atelier a permis à chacun de mettre en pratique les connaissances acquises. Les participantes ont été guidées par Inès dans la création de leurs propres masques personnalisés. En utilisant des ingrédients tels que l’argile, la spiruline, et le gel d’aloe vera, elles ont pu expérimenter et créer des produits de beauté naturels adaptés à leur type de peau. C’était une expérience à la fois éducative et amusante. 

L’événement du CFEP a été bien plus qu’un simple atelier de cosmétique naturelle. Il a été une célébration de la beauté authentique et de la confiance en soi. Les participantes sont reparties non seulement avec des masques faits maison, mais aussi avec une compréhension plus profonde de la beauté au naturel, en embrassant la simplicité et en valorisant la diversité de leur peau. 

Des idées de recettes
Voici quelques recettes inspirantes partagées par Ines lors de l’atelier. Vous y trouverez les ingrédients, qu’il faut mélanger jusqu’à consistance souhaitée (ni trop liquide, ni trop solide) pour appliquer votre masque pour le visage. 
Pour une Peau Illuminée : spiruline + gel d’aloe vera 
Pour une Peau régulée en sébum : argile verte + eau de source 
Pour une Peau lumineuse : argile rouge + huile de jojoba 
Pour une peau nourrie : argile blanche + hydrolat de rose 

Ces recettes simples et naturelles ont enthousiasmé les participantes et leur ont donné de nouvelles idées pour leur routine de selfcare. 
Si vous le souhaitez, ajoutez maximum 2 gouttes d’HE dans vos masques pour 
Les peaux nourries : HE de rose 
Les peaux apaisées : HE lavande 
Les peaux nettoyées : HE arbre à thé 

Personne devant un ordinateur, bloc-notes, et tasse de café

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